«Certaines fois on est pris par une nostalgie d´être avec des personnes qu'on aime. C'est si rare de les trouver. Il est si rare d'être
quelque temps avec ces êtres.
On passe par Évora, Covilhã, Porto, Lisbonne [les endroits ou j'ai enseigné le Yoga]. On ne trouve que des débris, des multitudes, de la peur, de la misére. Parfois quelq'un de beau ou belle, ou de bien.
Même [Mais] les rencontres sont rares.
La beautê d'un être vient d'avoir incorporé en soi du Divin.
Un être est beau en function de la contemplation et unité qu'il a réussi, bien que ses parents ont déja aussi une responsabilité dans la génétique physique et même psychique.
Deux, trois minutes, deux, trois moments [uniques] dans une vie, deux, trois méditations arrachés aux prix de quelles efforts. Et maintenant c'est le temps du sacrifice, on se immole [enseigne] à Lisbonne. Le corps sera donné a les soufrances des citoyens lisboètes. Mais au même temps, cette aspiration, cet élan interieur vers le Divin, ce silence paisible et tacite que marque la réalisation heureuse de l'esprit, apparait comme une nostalgie par le fait ou realité de ne pas pouvoir être tous le temps en cet état...
On a parlé avec les voyants, des astrologues, des quiromanciens, et on augure du succès dans la vie. On remarque ou on imagine le travail naturiste et méditative [venu déjà] d'autres reincarnations. On donnera comme conséquence une époque entre les 31 et 33 ans de vie très favorable. On pourrait écrire seul, pas associer avec qui que ce soit. Mais qui prendra ce que j'écris? Comment acceder au grand public? Et c'est c'a l'interêt? Est ce qu'il n'est plus important le triple travail en soi, avec des autres et pour les autres?»
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